Cube des théories physiques
Modèle:Ébauche Le cube des théories physiquesModèle:SfnModèle:,Modèle:SfnModèle:,Modèle:Note ou cube des théoriesModèle:SfnModèle:,Modèle:Note est une description synthétique de la physique, qui consiste à représenter, à l'aide des trois constantes G, 1/c et h, les relations entre les théories, actuelles et futures, de la physique et leur domaine respectif de validité.
Chaque constante est un axe du cube et chaque sommet est associé à une théorie.
Dénominations alternatives
À la suite de Modèle:LienModèle:Sfn, le cube est parfois dénommé le cube de BronsteinModèle:Note ou cube de Bronstein des théoriesModèle:Note, en l'honneur de Matveï Bronstein[1].
Il est parfois dénommé le cube cGhModèle:Note ou cube cGħModèle:Note, en raison de la notation des trois constantes physiques utilisées :
- la constante gravitationnelle, notée ;
- la vitesse de la lumière dans le vide, notée ;
- la constante de Planck, notée , ou la constante de Planck réduite, notée .
Histoire
Le cube des théories physiques trouve son origine dans une Modèle:CitationModèle:SfnModèle:,Modèle:Sfn de trois futurs éminents physiciens théoriciens du Modèle:S- : George Gamow (Modèle:Date--Modèle:Date-), Dmitri Ivanenko (Modèle:Date--Modèle:Date-) et Lev Landau (Modèle:Date--Modèle:Date-). En Modèle:Date-, tous trois étudiants à l'université d'État de Moscou, ils décident d'écrire un article en cadeau pour une étudiante qu'ils courtisentModèle:SfnModèle:,[2]. Considérant leur article comme insignifiant, aucun de ses coauteurs ne s'y réfère au cours de leurs carrièresModèle:Sfn. Ce n'est qu'en Modèle:Date- que le physicien russe Lev Okun le sort de l'oubliModèle:SfnModèle:,Modèle:SfnModèle:,Modèle:Sfn.
Les premières représentations du cube sont dues à Modèle:LienModèle:Sfn (Modèle:Date--Modèle:Date-) en Modèle:DateModèle:SfnModèle:,Modèle:Sfn et Modèle:DateModèle:Sfn.
Description
Le cube est un cube unité.
Chaque sommet du cube est associé à une théorie, à savoir :
- le sommet 000 à la mécanique newtonienne, ni relativiste ni quantiqueModèle:Sfn ;
- le sommet c00 à la relativité restreinteModèle:Sfn ;
- le sommet 0ħ0 à la mécanique quantique, non relativisteModèle:Sfn ;
- le sommet 00G à la gravitation newtonienne ;
- le sommet cħ0 à la théorie quantique des champsModèle:Sfn ;
- le sommet c0G à la relativité généraleModèle:Sfn ;
- le sommet 0ħG à la gravitation quantique, non relativiste ;
et :
- le sommet cħG à une théorique relativiste et quantique de la gravitation dite théorie du toutModèle:Sfn.
Notes et références
Notes
Références
Voir aussi
Bibliographie
- Modèle:Article, trad. :
- Modèle:Article.
- Modèle:Chapitre.
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Article.
- Modèle:Article, trad. en anglais :
- Modèle:Article
- Modèle:Chapitre.
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Chapitre
- Modèle:Ouvrage Modèle:Plume :
- Modèle:Abréviation discrète, Modèle:Chap., Modèle:Nobr, Modèle:§ : « Le cube des théories physiques », Modèle:P. ;
- Modèle:1re, Modèle:Chap., Modèle:Nobr : « Une plaisanterie estudiantine », Modèle:P. ;
- Modèle:1re, Modèle:Chap., extrait Modèle:Numéro : « Constantes universelles et transitions limite » de Modèle:Nobr, Modèle:Nobr et Modèle:Nobr (Modèle:Date-), Modèle:P..